La société, ce corps dont les humains sont les cellules, résultat darwinien des évolutions et sélections de l’Histoire, agit dans le sens de sa perpétuation, celle de ses mèmes. Ceux-ci sont inscrits dans les synapses neuronaux des individus-cellules et déterminent les rôles individuels d’où résulte le fonctionnement de l’ensemble.
Pour autant les individus sont mus par leurs déterminismes biologiques et disposent pour cela d’une marge de liberté plus ou moins arrachée. Cette dialectique entre l’individuel et le collectif est la pierre d’achoppement de toute société.
Exposer de manière empirique et sans moralisme les mécanismes de cet équilibre social, telle est l’ambition de nos articles sur la société.
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